TROMBINOSCOPE PROMO 55-59 (AVANT et ... Après)

Lors de nos retrouvailles en 2009...50 ans après...
Antoine Leupe avait fait ce super trombinoscope...
Avis aux amateurs de le compléter avec leurs"bouilles" actuelles.
Amicalement.  Josquin.( promo 55-59)





Amicalement.  Josquin.( promo 55-59)

ET SI ON REMETTAIT CELA EN OCTOBRE, NOUS PROPOSE MICHEL WENCEL

Cher ami !
À toi qui as apprécié les retrouvailles du 1er avril dernier et le menu proposé pour l'événement, voici l'occasion de tester une seconde fois le traiteur après une visite au musée de Douai envisagée dimanche 6 octobre à 10:00.
Quant à toi, indisponible au dernier rassemblement, sois le bienvenu joins toi au noyau indéfectible de 54-58 qui, depuis de nombreuses années, se retrouvent chaque automne autour d'une bonne table.
Au musée de la Chartreuse, un guide nous expliquera la place importante tenue par les géants dans la vie locale de Douai.


MICHEL WENCEL AVAIT DÉJÀ ACCUEILLI NOS AMICALISTES EN 2006 À COURCHELETTES
300 m plus loin, le restaurant « les braises » nous accueillera à l'issue d'un petit footing dans le quartier. De grands parkings sont très faciles d'accès près du musée (voir plan). Participation souhaitée : 40 € par personne. Si tu me confirmes ta présence ce dimanche là, fais-le de préférence avant le 31 août en précisant le nombre de personnes, le choix concernant le plat principal (cabillaud ouf filet mignon) et en joignant un chèque à ton courrier s'il te plaît.
J'espère qu'aucun obstacle ne contrariera nos retrouvailles et t'adresse, ainsi qu'à ta famille, mes salutations les plus amicales. 
Michel Wencel
15 rue de Normandie
59552- Lambres-lez-Douai
Téléphone : 03 27 98 16 26

Post-scriptum
– Le repas est prévu pour 12:30

ET SI ON RETOURNAIT DANS LE DOUAISIS, CETTE FOIS À DOUAI, À L'INVITATION DE MICHEL WENCEL...

– Alain, notre vaillant trésorier, est toujours heureux de recevoir la cotisation annuelle, même si elle lui parvient un peu tard.

JOËL DELROT(promo 89-92), NOUVEAU PROMU DES PALMES ACADÉMIQUES ÉVOQUE SON PARCOURS ET SES CONVICTIONS

Il est d'usage lors d'une cérémonie de promotion dans l'Ordre des Palmes Académiques que le récipiendaire rende grâce aux auteurs de sa "dénonciation". Mais au delà des remerciements d'usage, Joël Delrot a voulu resituer sa mission dans le cadre général de l'ÉDUCATION NATIONALE. Nous publions ci-dessous un extrait ciblé de son discours qui ravira les anciens normaliens que nous sommes...
-oOo-

"Fils d’ouvrier, je ne dois d’être devant vous aujourd’hui qu’au fait d’avoir cru en l’école et en sa capacité à me permettre de dépasser, même modestement, la condition de ma naissance. Il y a à cela une explication toute simple : même s’ils n’avaient pas la possibilité de toujours suivre ma scolarité, mes parents s’intéressaient à mes progrès et avaient un discours extrêmement positif vis-à-vis de l’école. Ils croyaient tout simplement  en l’école.
Combien de fois n’ai-je entendu à la maison : «Si tu veux avoir une bonne situation plus tard, travaille à l’école !!! »  Aujourd’hui, je me sens redevable envers l’école, c’est certainement un des ressorts qui me motive au quotidien, même si parfois j’ai quelques raisons de douter du rôle et  la portée de l’école aujourd’hui. En présentant le baccalauréat 2013 ce mercredi 12 juin, Jean-Paul Delahaye, directeur général de l'enseignement scolaire, soulignait le fait que ce dernier constituait un marqueur important des inégalités sociales car les écarts de réussite des candidats selon leurs origines sociales, sont toujours aussi importants. Selon les dernières statistiques du ministère: parmi les élèves entrés en sixième, 71,7% des enfants d'enseignants et  68,2% d'enfants de cadres supérieurs, ont finalement décroché un bac général. Contre, 20,1% des enfants d'ouvriers qualifiés, 13% des enfants d'ouvriers non qualifiés et 9,2% d'enfants d'inactifs. L’école ne peut se satisfaire de cette situation. La société ne peut se satisfaire de cette situation.
A quoi bon une école qui se contenterait de reproduire les inégalités sociales ?  Comme on peut le constater, même si au quotidien les acteurs de l’école, les partenaires de l’école se démènent pour que les élèves s’épanouissent et réussissent à l’école, les résultats ne sont pas toujours au rendez-vous et il me semble qu’il nous reste encore beaucoup à faire, même si je suis convaincu que toutes les réponses ne sont pas à trouver dans la grande maison Education nationale. Sans que cela ait vraiment été quantifié de manière scientifique, il semble que l’école soit doucement en train de passer du statut de projet de société à celui de service qu’il s’agit de consommer, sans en subir les contraintes, sans en relayer les enjeux.  



Le débat qui nous anime en ce moment sur les rythmes scolaires (mais pour avoir assisté à la conférence de Claire Lecomte peut-être devrais-je parler de l’aménagement du temps scolaire) peut à cet égard être porteur de tous les espoirs, mais il doit aussi nous rendre vigilants : À l’heure ou le temps de l’enfant doit être repensé dans un nouvel équilibre, une nouvelle articulation  entre temps scolaire et temps éducatif, il serait très contreproductif (j’emploie là un doux euphémisme) que l’école soit perçue comme un dispositif parmi beaucoup d’autres destinés à prendre en charge les enfants. Pour devenir enfin l’ascenseur social qu’elle devrait être, l’école doit certes évoluer, mais elle doit aussi  se réaffirmer en tant que lieu de construction du futur citoyen, intégré socialement et intégré dans le monde du travail. Un lieu ou se conjugue bienveillance et exigence, un lieu ou au-delà de l’épanouissement personnel de chacun de nos élèves, c’est la France de demain qui se construit."

DONALD WEBB PRÉSENTE LA PROMO 54-58 ET LES SURVEILLANTS D'ALORS, année scolaire 55-56


(Des erreurs ont pu se glisser dans la retranscription des noms ou l'ordre des repérages, aidez-nous à les corriger...
Merci à Gérard Cornet de nous avoir apporté ce samedi 29 juin, par courriel, les précisions sur la 2èA où, à part Donald Webb et Michel Wencel, nous ne pouvions nommer personne...)

1er rang debout de gauche à droite : MOREELS Gaston - VILLAIN Marc - CARON Gilbert (appelé le brontosaure par certaines mauvaises langues) - CZIRAK Michel - PELISSIER ... - WENCEL Michel - JACOB Jean Marie - LIBERT René - RAULLET Paul (dit popol, l'autre) 

2ème rang de gauche à droitE : WEBB Donald - BOUGON Michel - TIRTAINE Michel - CORNET Gérard - DE BLAERE Bernard (dit la feuille)
HUGO Léandre - BONNET Jean Claude - BECQUES Christian - LELEU Yves - BOUCHENDHOMME Guy -

3ème rang à genou de gauche à droite : COLPART Charles - BLANQUART Gérard - LEFEBVRE MICHEL -

Il semblerait que Michel Tirtaine, Jean Marie Jacob et Yves Leleu soient disparus. Quant à Bernard De Blaere (?)

Cette classe homogène et particulièrement agitée, du moins pour certains, a effectué cette scolarité à l'écart des autres, au deuxième étage, à côté de la salle de dessin de Madame Dumont et certaine professeur a gardé longtemps le souvenir de son entrée dans une salle totalement enfumée, fenêtres fermées : c'était Mademoiselle Andrieux devenue plus tard Madame Vienne et que j'ai rencontrée souvent dans Boulogne, évoquant régulièrement avec joie cette classe vivante.

J'essaierai en martyrisant mon ordinateur d'envoyer une de mes photos (les cheveux m'ont lâchement abandonné, quant à la sveltesse du footballeur que j'étais ne s'est pas évanouie au contraire !

Gérard Cornet - promo 54/58


À bientôt, Michel Wencel, à Douai si mon arthrose me permet encore de conduire plus de dix kilomètres !!!!
  
(MERCI GÉRARD, TA MÉMOIRE NE FAIBLIT PAS, ELLE...NDLR)



CLASSE B : DE GAUCHE À DROITE
ACCROUPIS : Sylvain, Lemaire, Wachez, Holvoët, Delporte, Guignard, Ruelle
2È RANG : Wozniak, Loterie, Buisset, Dusséaux, Desquiens, Guétemme, Pruvot, Lefort,
3È RANG : Donald WEBB, Vandaele, Kaczmarek, Demoussel, Deconninck, Vanbauce, Domelier, Massa, Marcinkowski, Descamps
4È RANG : Lécuyer, Poret, Jacquemin, Capelle, Leteneur, Desprès, Laude, Laudoux
ACCROUPIS de gauche à droite : Pécaut, Cottrez, Pamart, Delcambre, Vandeville, Tricart, Doise, Deloffre, Casteloot, Cottegnies, Pochez, Hollevoët  ("Lulu" )
DEBOUT : Trempont ("poussière"), Laudoux, Guisgand, Sorriaux, Ruelle,  Huvelle, Delcambre, Boucly, Nicq, Sabau, Canivet, Trécart, Toulemonde, Odin, Wallerand, Mériaux, Rousseau, Delfosse, Dupuis, Battist, Koninck

ACCROUPIS, de gauche à droite : Roland Grimaldi, Dominique Pandolfi
DEBOUT : Roger Hanot, Donald WEBB, "Bébé", Michel Heysen, Jean Dupuis, Jules Labitte

MATH ÉLEM 1953-54 PAR RENÉ ROUSSEL 100% DE RÉUSSITE AU BAC, QUI DIT MIEUX ?


PREMIÈRE PHOTO : "Math Elem 1953-54"
Au Centre  1° rang, Monsieur Hickel Directeur de l'EN de Garçons.

1° rang  Filles, de gauche à droite:
Nelly Dalibert, Evelyne Grandval, Gaby Flouret, Suzanne Douillet, Thérèse Maldi, Françoise Longatte, 
Josette Macrez, Micheline Druart.

2° rang  Garçons et Filles de gauche à droite:
Gérard Danquigny, Yves Caffin, Georges Pruvot, Michel Evrard, Michel Lecouvreur, Jeanine Hénon,
Georgette Lux, Jacqueline Thérey, Jeanne Duminil, Nicole Potelle, R Roffidal, Pierre Pruvot, 
Claude Bourgeois, Jean-Pierre Lejeune, Marcel Ruytoor.

3° rang  Garçons de gauche à droite:
Pierre Lamothe, Georges Bayen, Jean Fourez, Jacques Queval, René Roussel, Lucien Sellier, Michel Leprêtre,
Claude Paris, Guy Paput, Jean Dewaele, Gérard Gillet, André Delbey, Jacques Carlier.Equipe de Basket Juniors 1954, Championne d'Académie.
Pour vous j'ajouterai mon commentaire : superbe Classe, 13 filles + 23 garçons  = 36 succès au Bac en juillet... 
Curiosité marginale : j'aimerais pouvoir comparer avec les années voisines : difficile !!

DEUXIÈME PHOTO : La qualité n'est pas du tout la même, c'est la définition la plus faible qui donne l'image la plus acceptable, c'est une coupure de la Voix du Nord . 

Quelques noms:
1° rang, accroupis: Jean-Pierre Maréchal, André Parent (2° et 3°)
2° rang, debouts:  Guy Drubay, x Stiévenart, René Roussel (2°, 3° et 4° )

Si cela vous convient , vous pouvez lui associer la légende suivante :
"Finale d'Académie Basket Juniors 1954, Victoire des Normaliens"

L’internat d’excellence (ex-ENG) de Douai menacé ? La disparition de classes annoncée

Voilure réduite et autre fonction, non encore définie, à la rentrée : l’internat d’excellence de Douai a été brutalement plongé dans le flou par le rectorat. Une méthode et une situation que dénoncent les enseignants et le maire, Jacques Vernier.



Les anciens et vastes bâtiments de l’IUFM ont été rénovés à coups de millions d’euros.
 PHOTO ARCHIVES






L’internat d’excellence de Douai va-t-il être démonté partie par partie ? C’est la crainte des enseignants de cet établissement qui ont reçu, mardi en fin d’après-midi, la visite d’Annie Partouche, directrice académique adjointe des services de l’Éducation nationale. Mme Partouche leur a annoncé la disparition progressive des classes de l’établissement douaisien : la classe de 4e à la rentrée prochaine, puis celle de 3e à la rentrée 2014, les secondes un an après, etc. Cette nouvelle, les enseignants s’en doutaient : « Une commission de recrutement spécifique à l’internat, dont les critères d’admission sont particuliers, notamment sociaux, a eu lieu fin mai au rectorat. On a appris que tous les dossiers des élèves postulant à une admission en 4e avaient été écartés. Cela nous a alertés. Mais jusqu’à ce mardi, nous n’avions eu aucune annonce officielle. », signale cet enseignant, qui proteste : « Cela s’est fait sans aucune concertation !»
Le paradoxe c’est que ces disparitions de classes successives ne signifient pas, a priori, la fermeture de l’internat. « La finalité de l’établissement serait recentrée dès la rentrée prochaine sur la lutte contre le décrochage scolaire », ajoute ce même enseignant, qui pour le coup s’énerve : « Le fonctionnement de l’internat est voué à disparaître dans sa forme actuelle mais Mme Partouche n’a pas été capable de nous dire par quoi il allait être remplacé. À chacune de nos questions sur le projet du rectorat pour l’établissement, elle a répondu Je ne sais pas ! »
Une proposition a laissé les enseignants abasourdis : « On nous a demandé de soumettre un projet dans le cadre d’un groupe de travail qui serait piloté par le rectorat pour définir de nouvelles bases de fonctionnement… On nous apprend que ce pour quoi nous nous sommes investis sans compter va être supprimé, et dans la foulée de participer à l’élaboration de la nouvelle organisation, du nouveau but recherché… »
Cette annonce crée un second paradoxe. Le futur de l’établissement est flou, avec néanmoins une classe en moins à la rentrée de septembre, mais les travaux d’agrandissement de l’internat continuent, avec comme maître d’œuvre le conseil régional…
Car il était prévu que le nombre d’élèves accueillis au total s’élève à 200, avec une montée en puissance régulière, au fur et à mesure de l’ouverture des classes, puisque c’est toute une scolarité, de la 4e à la terminale, qui devait pouvoir être effectué à Douai. À la rentrée 2010, date de l’ouverture, il y avait ainsi 50 élèves pour trois classes (4e, 3e, 2de) ; 100 en 2011, avec l’ouverture de classes de 1re, etc. Or à la rentrée prochaine par exemple, le nombre d’élèves ne sera pas de 150 mais de 130, puisque de classe de 4e il n’y aura point.

« La ville a assez donné »

Jacques Vernier, le maire, est « scandalisé » par une annonce qu’il a apprise par la bande. «Je comprends qu’un autre gouvernement n’ait pas les mêmes appréciations sur les vertus d’un internat d’excellence. Mais on attend une certaine continuité de l’État dans son action. »
Autre motif de colère : « On tape sur Douai en permanence. La ville a assez donné dans le domaine de l’Éducation nationale, avec la quasi-disparition de l’IUFM. »
Pourtant on ne peut pas dire que l’internat, avec ses 130 adolescents internes qui rentraient chez eux le week-end animait beaucoup la ville. Mais cet établissement était un des trois internats d’excellence de France dits, dans le jargon de l’Éducation nationale, de « pur modèle », avec un établissement n’accueillant que ces élèves. Les deux autres sont à Sourdun (Seine-et-Marne) et Montpellier (Hérault).
L’académie comporte bien un second internat d’excellence, à Armentières, mais les quelques dizaines d’élèves suivant ce cursus particulier sont intégrées à un lycée classique (le lycée Gustave-Eiffel) d’environ mille élèves. L’internat d’excellence de Douai était parmi ce qui se faisait de mieux dans le genre, avec des locaux rénovés à grand frais. Ce qui n’empêche pas qu’il avait ses détracteurs sur la place, qui estimaient que c’étaient de gros moyens utilisés pour une poignée d’élèves.
Quoi qu’il en soit, M. Vernier a demandé au recteur, Jean-Jacques Pollet, de le recevoir de toute urgence. 
VDN Douai 21/6/2013

PALMES ACADÉMIQUES POUR DIDIER DELÉCOLLE (PROMO 77-79), SECRÉTAIRE DE L'AMICALE ENG IUFM DOUAI ET JOËL DELROT (PROMO 89-92)




Lundi, dans la salle de réception du parc Charles-Fenain, l’heure était aux honneurs. Martine Coutelier, directrice de l’école Jean-Monnet et présidente de l’association En sortant de l’école, avait invité les enseignants de la circonscription de Douai-Centre à venir féliciter quatre de leurs collègues : deux partant la retraite et deux promus au grade de chevalier dans l’ordre des Palmes académiques. Franck Montuelle, inspecteur de l’Éducation nationale, après avoir salué la présence de Jacques Vernier, maire, de Bruno Bufquin, adjoint aux écoles, et de Martine Lecouty, responsable du service des écoles, a retracé les carrières des enseignants et mit en valeur leurs qualités pédagogiques et humaines.


De gauche à droite : Didier Delecolle( 77-79), Joël Delrot, (89-92)
Franck Montuelle, Suzanne Garapin, Jacques Vernier, et Anita Francart.


Les départs à la retraite

Suzanne Garapin : « Enseignante à l’école Jean-de-la-Fontaine depuis 1976, cette stabilité exceptionnelle et son enracinement dans le quartier lui ont permis de connaître parfaitement les besoins de la population scolaire de Dorignies. Cette enseignante exemplaire, pédagogue experte, a porté tout au long de sa carrière des valeurs d’équité et d’humanité dont l’école publique est porteuse. »
Anita Francart : « Directrice de la belle et renommée école maternelle Madame-de-Sévigné, Anita s’est investie avec beaucoup de générosité, de conviction et de réussite tout au long de sa carrière avec une résolution indéfectible : une main de fer dans un gant de velours ! »

Palmes académiques

Didier Delecolle : « Directeur depuis 2008 de l’école d’application François-Lemaire, il a toujours fait preuve d’une loyauté indéfectible, d’une grande rigueur et d’une efficience professionnelle impressionnante, il est un agent exemplaire du service public dont il porte les valeurs humanistes avec beaucoup de conviction et d’engagement. »
Joël Delrot : « Arrivé dans la circonscription en 2009, il occupe le poste de conseiller pédagogique. Ses authentiques qualités intellectuelles et relationnelles ainsi que ses compétences pédagogiques reconnues de tous lui permettent de maîtriser avec une grande efficacité les différents aspects d’une fonction devenue complexe, exigeante et délicate. C’est autour d’un pot de l’amitié que se clôtura cette bien sympathique manifestation. »

PROMO 53-57 : UN JUBILÉ QUI S'EST ÉTOFFÉ ET QUI NE DEMANDE QU'À S'ÉLARGIR


Bonjour ,
                  Je suis Jean-Marie DESSAUX, je suis retourné à l'EN pour la première fois lors du banquet du cinquantenaire de notre sortie et j'ai eu le plaisir d'y retrouver mes meilleurs camarades de la promotion, ceux avec qui je partageais les week-ends à l'internat.
  Depuis, nous avons formé un petit groupe qui se retrouve chaque année à l'automne dans le secteur de l'un d'entre nous. Et ce petit groupe ne demande qu'à s'agrandir soit pour les rencontres soit pour échanger des nouvelles.
Cette année, notre rencontre, organisée par Daniel LEROY , se fera dans l'Avesnois le 4 Octobre .

 Je vous joins deux photos d'une de nos rencontres en Flandre : l'une de nous seuls , une autre avec nos épouses qui commencent à bien se connaître
maintenant. Le petit jeu consiste à reconnaître qui-est-qui ? 


Nous n'avons pas tellement changé !!!

Pour me joindre   ;  jmdparadis@orange.fr 


  Bien amicalement.   Jean-Marie DESSAUX

PS : POUR PARFAIRE LA DEVINETTE, VOICI LA PROMO 53-57 D'ORIGINE (CI-DESSOUS) QU'IL VOUS RESTE À COMPARER AVEC LES HEUREUX JUBILAIRES LORS DE LEUR RENCONTRE D'OCTOBRE 2010 EN FLANDRE :

AU LYCÉE D'EXCELLENCE DE DOUAI (HÉBERGÉ DANS LES LOCAUX DE L'EX-ENG) ON A LE BLUES...



Douai : craintes sur l’avenir de l’internat d’excellence



C’est la question que se pose le personnel de l’internat d’excellence de Douai dans un tract envoyé à la presse ce mercredi en fin d’après-midi. « Mardi 18 juin, Mme Partouche, directrice académique adjointe des services de l’Éducation nationale, a rencontré l’ensemble du personnel de l’internat d’excellence de Douai suite à la suppression de la classe de quatrième pour la renrée 2013 et à terme la suppression de l’internat tel qu’il existe aujourd’hui. Le recteur de l’académie de Lille a pris ces décisions sans concertation et sans en donner le sens (...) » 

Le gouvernement n’a jamais caché que ces structures créées sous la présidence de Nicolas Sarkozy ne lui plaisaient pas. Il réduit leur voilure (ici suppression de la classe de quatrième) et réfléchit à leur donner une autre orientation. Mais, et c’est ce que reproche le personnel enseignant de celui de Douai, sans savoir précisément laquelle et en œuvrant en catimini. Il craint que la fermeture de l’internat ne soit déjà programmé. Nous reviendrons sur ce dossier.

1977, CROSS DU CENTENAIRE DE L'ENG DE DOUAI PAR JEAN-ALAIN CORNIL (66-71)

Voici un article de journal qui pourrait être divulgué via notre site, notre blog, ou encore facebook ... Il s'agit du centenaire de l'école Normale de garçons de Douai le 15 Mai 1977. J'étais en stage de recyclage à cette époque (trois mois formidables).





Celui qui est au centre avec des lunettes de soleil et qui a "bel"(1) allure, c'est moi ; on reconnait Jean-Michel Leclerc. Je signale aussi que mon survêtement était rouge (une importance capitale) !  Dommage que la couleur n'était pas d'actualité à cette époque !
Je signale que ce fut la seule fois où je ne me suis pas arrêté à mi-parcours. Je crois me souvenir que M. Laisne et M. Pintiaux étaient présents. Notre cher Michel Chere y était peut-être ! ...
A cette époque, en recyclage nous avions 2 profs de gym : un blond, et un brun avec de longs cheveux (leurs noms m'échappent), mais je puis dire que nous les avions très appréciés. Peut-être, Michel pourra éclairer ma lanterne !...
En musique, j'ai eu le plaisir de retrouver Jean Bacquet. En maths, Evelyne qui habitait à Flines-les Râches. un grande maison construite par son mari et elle-même. Elle attendait famille à cette époque et comme nous avions sympathisé, Jean-Pierre Daems, un instit de Wattrelos, Serge Ringot (décédé, il y a dix ans) et moi-même, nous étions allés lui rendre visite à l'occasion de la naissance. Je me souviens aussi d'un autre prof de maths et tout en discutant, nous nous étions rendu compte que nous avions été scolarisés dans le même CEG à Hellemmes, lui en 4ème et moi en 6ème. 
D'autres souvenirs me reviendront certainement... je me souviens aussi d'interventions de Monsieur Becques (Darry).
Bonne semaine à tous 

Jean-Alain CORNIL
(1) le "bel" et non belle allure était une référence à Bébel le magnifique ; c'était donc voulu ! Il est vrai que je me suis redressé en voyant le photographe !...



ARRAS Rassemblement automnal Octobre 2011 - Gérard VIENNE


En octobre 2011, Gérard Vienne nous conviait à visiter Arras, puis à nous  restaurer au Domaine des Cascades à Wancourt. 

LES HEUREUX CONVIVES 

ALBERT RICHEZ, HOMMAGE ET SOUVENIR

Albert Richez nous a quittés
(Extrait de «Passerelle» IUFM Nord - Pas de Calais janvier 2010)

Le 20 Septembre 2009 Albert Richez est décédé à 7 h du matin. Ancien Directeur d'Ecole Normale, nommé IA-IPR, à la naissance des IUFM à Douai puis à Lille, il fut Directeur du site IUFM d'Arras jusqu'en Septembre 2001, date de son départ en retraite.
Même s'il n'était pas toujours d'accord avec toutes les orientations de la politique éducative menée par les IUFM, il faut se souvenir qu'il fut un serviteur fidèle de la formation des maîtres.
Pierre Louis étant alors directeur de l'IUFM, Albert Richez sut mener à bien, avec le concours efficace d'Alain Galan, Responsable Administratif et Financier, la fusion des deux sites d'Arras : Artois et Templier. Il organisa ensuite très efficacement le site d'Arras devenu un outil renouvelé de formation des maîtres grâce au Conseil Général du Pas-de-Calais.
Animé d'une réelle vocation philosophique, il fonda ses choix politiques sur un humanisme empruntant à des sources très diverses, de Marx à Lévinas. C'était un homme engagé, passionné et généreux.

Jean-Pierre Fourthin
Ancien Directeur du site IUFM d'Arras,
ancien Directeur Adjoint de l'IUFM NordPas de Calais



Albert Richez a été Président d’Attac Artois et membre du Conseil Scientifique d’Attac (CLIQUEZ SUR LES MOTS SOULIGNÉS EN BLEU POUR ACCÉDER AUX ÉCRITS D'ALBERT RICHEZ)
-oOo-

(Nous remercions Jean-Paul Bridenne (Promo 66-71) qui a fourni les sources de cet article)
Nous remercions également Jean-Alain CORNIL (promo 66-71) qui ajoute ci-après un témoignage personnel de reconnaissance envers Albert Richez :
"J'avais aussi apprécié Albert Richez, et me souviens que, absent quelque temps pour raison de santé, à son retour, il avait voulu réunir deux classes pour rattraper le retard. Il estimait que nous ne devions pas être pénalisés. Ce fut un échec ! Nous n'avions à l'époque pas compris à quel point il avait le sens des responsabilités et beaucoup de conscience professionnelle. Devant ce "fiasco", quelques jours plus tard, il est venu nous demander de l'excuser de sa mauvaise prestation : il n'a jamais rejeté ses difficultés à nous intéresser  sur notre attitude pas très "sympa", il faut l'avouer ! Chapeau, M. Richez !"
Merci

Jean-Alain CORNIL

La promotion 52-56 a son jardin secret, mais elle consent à nous en livrer quelques éléments grâce à Paul Oudart

Chers amis,
Comme vous le savez la promotion 1952-56 (à laquelle j'étais rattaché) se réunit chaque année depuis 1998 dans un beau coin de France où les ex-normaliens se sont dispersés.
Après la région de Chinon l'an dernier, c'est le Gers qui nous a accueillis du 15 au 17 mai sous l'égide de Maurice et Françoise VALET. Malgré quelques défections, involontaires, nous nous sommes retrouvés 23  à Saint-Michel près de Mirande
goûtant non seulement aux spécialités gastronomiques locales, mais appréciant la convivialité et le savoir faire des "indigènes".   
Paul OUDART
La Bretagne Nord sera sans doute au menu de 2014... Bien à vous.



PASSAGE ÉCLAIR À L'ENG DE DOUAI, SOUVENIR INOUBLIABLE... UNE LETTRE DE DE RENÉ ROUSSEL

Un camarade de l'EN d'Amiens que j'ai rencontré, il y a moins d'un mois au regroupement annuel , René Guilmot, qui a été prof à l'EN de Douai, m'a transmis les liens Internet avec l'Amicale des Anciens de l'EN de Douai.
J'ai, après 2 ans à Amiens, passé une année à l'EN de Douai en classe de Math Elem (1953-54) dont je garde des souvenirs qui en font la meilleure année de mes 8 années d'étude à partir de la classe de seconde ( à cause de l'atmosphère qui régnait dans la classe, dans l'EN et grâce aux 2 professeurs principaux qui étaient M Beuchey en Math et M Locqueneux en Physique ). J'ai continué mes études en classe prépa au Lycée Faidherbe à Lille puis à l'ENSET devenue ENS de Cachan). Je ne suis donc pas un normalien de Douai au sens strict mais si vous m'acceptez, je serai prêt à faire partie de votre association , à en recevoir les informations et éventuellement à participer à vos manifestations . J'ai lu avec attention toute l'information présente sur vos sites et en particulier me suis aperçu que j'avais assez bien connu les camarades Drubay , Maréchal et François qui étaient en 4° année avec André Parent (longtemps maire d 'Anzin, avec qui j'ai partagé une longue amitié et qui nous a quittés il y quelques mois)     et qui vous envoient une lettre. J'ai participé avec eux sous la direction de Jean Joly à l'équipe junior de basket , championne d'académie en 1954.

Avec le professorat d'ENSAM de Physique Electricité (devenu aussitôt mon admission agreg de physique appliquée) j'ai fait toute ma carrière à l'ENSAIS, école d'ingénieurs type ENSAM à Strasbourg- devenue maintenant INSA- et je suis resté en Alsace . En espérant que vous voudrez bien m'accepter et me faire parvenir les renseignements correspondants (cotisation, renseignements nécessaires... je vous prie de croire à toute ma sympathie. 
René Roussel

NOTRE BLOGUE S'ÉLARGIT ET PREND RACINE...

GRÀCE À VOUS, NOUS RECEVONS MAINTENANT DES DEMANDES D'ADHÉSION À L'AMICALE PAR LE BIAIS DE NOTRE BLOGUE. NOUS REPUBLIONS UN BULLETIN D'ADHÉSION À TOUTES FINS UTILES ET NOUS VOUS ENCOURAGEONS À TRANSFÉRER NOS LIENS À D'ANCIENS CAMARADES DE PROMO QUI NE SONT PAS ENCORE AU COURANT DE  NOTRE EXISTENCE AFIN QUE NOTRE AMICALE CONTINUE DE S'ÉLARGIR ET DE S'ENRICHIR DE NOS SOUVENIRS COMMUNS
Le bulletin ci-dessous peut être imprimé ou reproduit de façon manuscrite pour être envoyé à notre trésorier Alain Carré

LES NORMALIENNES ONT AUSSI LEUR JUBILÉ 57-61. FÊTÉ COMME IL SE DOIT À L'ENG



EN 2011, MICHÈLE STUBERT FÊTAIT AUSSI SON JUBILÉ DE PROMOTION, NE SOYONS PAS MISOGYNES ET FAISONS-LEUR UNE PETITE PLACE DANS NOS CÉLÉBRATIONS

EN 2012 SORTIE EN AVESNOIS, À MAUBEUGE, AVEC POUR GUIDES, MAURICE ET ANDRÉE DEPRETZ ET POUR HÔTES, JOCELYNE ET JEAN-JACQUES DOMELIER


LE 7 OCTOBRE, AVEC MAURICE ET ANDRÉE DESPRETZ, NOUS VISITIONS MAUBEUGE, PUIS CE FUT UN BANQUET MÉMORABLE ORGANISÉ PAR JOCELYNE ET JEAN-JACQUES DOMELIER DANS UN CADRE MAGNIFIQUE AVEC DES PRODUITS DU TERROIR...

PHOTOS MÊLÉES DE MICHÈLE STUBERT ET JEAN-MARIE DEVAUX

ABBAYE DE VAUCELLES 4 OCTOBRE 2009


Ce ne sont pas les journées du patrimoine!!! 
Mais bien notre rencontre du 4 oct. 2009 à l'abbaye de Vaucelles sous la conduite d'Alain et Michèle STUBERT
Puis Ferme auberge du Quesnet pour les gourmets que nous sommes... 

AU MUSÉE MATISSE (LE CATEAU) DANS LE CADRE DES SORTIES CULTURELLES ET GASTRONOMIQUES DE L'AMICALE (7 OCTOBRE 2007)




EH OUI, NOS SORTIES CULTURELLES , 
ORGANISÉES CHAQUE ANNÉE EN OCTOBRE, MARIENT LES PLAISIRS DES YEUX ET DE LA BONNE CHÈRE. 
MERCI À MICHÈLE STUBERT QUI A FOURNI LES PHOTOS. 
ICI, LE MUSÉE MATISSE, AU CATEAU...
À VOUS DE DÉCOUVRIR...

LETTRE DE MICHEL DEFRETIN (46-50) QUI NOUS PROMET DU GRAIN À MOUDRE ET S'INTERROGE SUR DES ARCHIVES CONCERNANT NOTRE ENI

Bonjour Jean-Marie,
Tout d'abord, merci pour ta réponse concernant l'envoi de documents. En effet, j'en ferai parvenir de nombreux et qui ne pourront sûrement pas tous paraître dans le prochain bulletin ! Ce sera éventuellement pour le suivant ? ! .
J'envisage également de rédiger un article. D'autre part, existe-t-il des archives concernant l'ENI de Douai où se trouvent-elles ...?
Merci, amitiés normaliennes,

Post-scriptum : mon bon souvenir à tous et en particulier à Jean Joly 


Michel Defretin 

LA PROMO 54-58 N'EST PAS EN RESTE, AVEC SON DIAPORAMA REGROUPANT QUELQUES VUES DE 2006 PUIS 2008, ANNÉE DE SON JUBILÉ


Michèle et Alain Stubert nous proposent un diaporama souvenir des banquets de 2006 et surtout du 30 mars 2008, année du jubilé de la promotion 54-58. Et, comme il se doit Donald WEBB était présent ... Quant aux autres, découvrez-les en visionnant cette vidéo 
les jubilaires de la promo 54-58 posent pour la photo

JUBILÉ D'ENTRÉE DE LA PROMO 61-65 AU VOLUBILIS DE DOUAI EN 2011. C'EST À VOIR EN DIAPORAMA SONORISÉ



 GILBERT KESMAECKER nous a fait parvenir quelques photos des retrouvailles de la 61-65 pour leur 50 ème anniversaire d'entrée, le 4/4/11. 
L'EN n'avait pu les accueillir, faute de place...
Mais Joly était venu au dessert, ce fut un grand moment.
Cette réunion (un peu plus de 40) avait été rendue possible par le travail acharné de quelques uns, JL Thuilliez, B Boulanger....pour ne citer qu'eux...
qui avaient pris la suite de Raymond De Potter dont c'était la grande idée, mais malheureusement décédé l'année précédente 
d'autres photos sur d'autres thèmes au prochain envoi

LA PROMOTION 54-58 EN SON ANNÉE DE SECONDE : UN DOCUMENT DE STÉPHAN MARCINKOWSKI

STÉPHAN MARCINKOWSKI,
PRÉSIDENT DE NOTRE AMICALE DEPUIS 1981,
FIGURE SUR L'UNE DES 3 PHOTOS CI-DESSUS,
IL A CERTES BEAUCOUP CHANGÉ DEPUIS 1956
ALORS, ESSAYEZ DE DEVINER OÙ IL SE TROUVE...
UN PETIT EFFORT....

BAL À L'ÉCOLE NORMALE (SUITE)

CETTE PHOTO PARUE DANS LE BULLETIN N°92 DE NOVEMBRE 1993 NOUS A ÉTÉ CONFIÉE PAR STÉPHAN MARCINKOWSKI ET DÉMONTRE QUE LES BALS À L'ÉCOLE NORMALE DE DOUAI SONT UNE LONGUE TRADITION. ICI, C'EST MONSIEUR JACQUEMIN, PROFESSEUR DE MUSIQUE QUI EST AUX COMMANDES

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